Au-delà des facteurs de risque, le délai d’accès au traitement et le type d’établissement de prise en charge sont fondamentaux.
Une vaste étude publiée en septembre souligne l’importance des inégalités socio-économiques, alors que cette hausse reste difficile à expliquer. Les territoires concernés correspondent aux plus défavorisés, et ne sont pas nécessairement des déserts médicaux.
Pour permettre aux collectivités de continuer à distribuer au robinet une eau conforme aux critères de qualité, l’Etat desserre discrètement l’étau de la réglementation. Avec quels risques, s’interroge dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Alors que la « Sécu » fête ses 80 ans et que l’Assemblée nationale s’apprête à se pencher sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, plusieurs études viennent à nouveau mettre en lumière l’écart de l’état de santé des Français selon leur niveau de vie. Pourtant, le sujet et les solutions possibles pour mieux soigner les plus modestes sont bien connus des chercheurs et des soignants.
Inspirée par sa double expérience, à l’hôpital et en laboratoire, cette spécialiste des troubles de l’humeur propose une approche originale pour traiter de façon plus personnalisée la dépression et la bipolarité.
La Ligue contre le cancer a inauguré, avant l’été, un espace de 1 000 mètres carrés dans le 19ᵉ arrondissement. Un lieu de vie, de prévention, d’information et de soins « de support ».
Le Festival du Monde, organisé du 18 au 21 septembre à Paris, a été l’occasion de mettre en avant les troubles psychiques et de comprendre comment lever le tabou.
Dans une tribune au « Monde », le médecin spécialiste pointe les limites de la campagne annuelle de dépistage. Il insiste sur l’importance de multiplier les messages de prévention et de privilégier les actions locales.
En analysant l’ADN des dents de treize grognards des troupes napoléoniennes enterrés dans une fosse commune à Vilnius, une équipe française a découvert des traces des bactéries responsables de la fièvre paratyphoïde et de la fièvre récurrente.
On articule souvent santé et climat sous l’angle de l’empreinte carbone du secteur, ou en fonction des menaces que représente le changement climatique sur les corps humains. Mais on oublie de souligner les cobénéfices entre les deux.
Face à une baisse historique des financements, l’Organisation mondiale de la santé doit choisir quels pays et quelles populations aider en priorité, laissant des millions de personnes sans accès aux soins essentiels.
Un nombre de plus en plus important de spécialistes s’inscrivent en « secteur 2 ». Dans un rapport remis à Matignon jeudi, les députés Yannick Monnet et Jean-François Rousset préconisent un « plafonnement » et le recours à des « contreparties ».
Les trois patients concernés présentent « des symptômes sévères de botulisme avec en particulier des difficultés respiratoires nécessitant une hospitalisation en soins intensifs », s’est alertée l’agence de sécurité du médicament.
Dans un entretien au « Monde », le psychiatre Raphaël Gaillard alerte sur les dangers que peut représenter l’utilisation de l’intelligence artificielle comme confident. Mais il reconnaît son utilité, si l’outil est bien encadré.
Dans une tribune au « Monde », l’avocate Caroline Mecary analyse la décision de justice qui place la France dans une situation paradoxale. Et appelle à une réforme de la loi bioéthique et à une autorisation de la procréation médicalement assistée (PMA) post mortem.
Une étude de l’Office européen des brevets (OEB) montre le rôle essentiel de la recherche publique plaçant la France en tête du palmarès européen. Le CNRS et le CEA occupent respectivement les première et deuxième places du classement.
L’antenne française de l’ONG dénonce dans un rapport l’effet « spirale » de l’algorithme qui oriente rapidement des adolescents visionnant des vidéos relatives au mal-être vers des « contenus dépressifs ».
Il s’agit de la plus importante prise depuis la chute du régime de Bachar Al-Assad et l’arrivée au pouvoir d’Ahmed Al-Charaa. Le trafic de cette amphétamine de synthèse illégale était devenu durant la guerre civile l’une des principales sources de revenus de l’Etat syrien.
Pour la première fois, une stratégie de thérapie cellulaire à base de lymphocytes T reprogrammés a montré des signes encourageants d’efficacité dans une tumeur solide, expose un essai présenté au grand congrès de la Société européenne d’oncologie médicale, lundi 20 octobre, à Berlin.
Dans un entretien au « Monde », le président du congrès européen de cancérologie qui se tient à Berlin jusqu’au 21 octobre confie ses espoirs sur les avancées médicales concernant cette maladie qui touche 20 millions de personnes chaque année dans le monde, et en tue près de 10 millions.
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